Trail de Nantes à Montaigu
-Trail de la Digue-
Bon, promis et même si c’est tentant, je ne vous chanterais pas la fameuse chanson. Je sais qu’il va y avoir des déçus mais on va éviter de se faire censurer et de blesser des oreilles trop prudes ou de passer pour je ne sais quoi !!! vu que je suis un peu feignant aujourd’hui, on va laisser Erwan causer à ma place. Il en a des choses à dire Erwan et en plus, il les raconte bien ! je vous laisse avec nos deux compères, bravo et respect les champions !!!
« Superbe matinée ensoleillé, une température fraîche, idéal pour courir, entraîné par le speaker nous partons à l’assaut de ce trail à 4 dont Stéphane Rousseau qui est du club de Janzé Athlétisme
Les 15 premiers kilomètres sont trop roulant, presque pas de dénivelé, aïe, je me dit que ça va se payer à un moment donné, bref je cours à la sensation, 49m sur les 10 premiers kilo, 1h45 sur le semi, ça sait fait 
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.Nous arrivons à faire un peux de sous-bois au 15 ème, ça je préfère, de bonnes côtes au 24eme et 29eme kilomètres qui remettent bien les choses en place, on est sur un trail quoi au 32 ème ça commence à coincer, les jambes lourdes du départ commencent à peser de plus en plus, les ravitaillement s’enchaînent, et les allures de marche et course aussi, pas où plus de rythme, je n’avance à rien et les coureurs sur les courses inférieurs qui font que doubler n’arrange en rien la situation, le mental en prends un coup, mais il faut savoir rebondir et j’essaye de m’alimenter mais c’est mon point faible, peux de chose passe, du riz seulement, je m’hydrate comme il faut, je repars en courant en marchant, il faut se forcer à chaque fois pour relancer ça s’est le plus dur, plusieurs passages sur des digues tout du long du parcours, ça rafraichit les jambes sur le moment mais avec le froid les tendons d’Achille deviennent raide, arrivé aux 10 derniers kilomètres, j’essaye de suivre une femme qui est sur le 22km, enfin j’arrive à accrocher quelqu’un, pourtant c’est pas les tentatives qui manquaient lol, le rythme n’est pas foufou mais ça me va, il reste 7km je tombe dans le sous-bois en descente, heureusement pas de pierre, plus de peur que de mal, la prochaine fois je serais plus lucide, la fatigue est bien là les coureurs qui me suivent et me précédent me demande si ça va, nickel hihi, je repars, de là, je fais 2 kilomètres avec la coureuse que je suivait qui à été rejointe par une autre, on discute un peu, elles m’encouragent, me propose de l’eau et de l’alimentation, ça c’est l’esprit trail, j’adore, il ne reste plus que 4 kilomètres, comme d’habitude à la fin d’une course, mon cerveau se déconnecte du corps, les douleurs rien à foutre lol, me voilà partis, je file, rattrape plusieurs personnes qui m’avaient doublé auparavant, le terrain deviens très accidenté dans le sous-bois, une dernière digue, me voilà à Montaigu, du faux-plat montant autour des remparts, des encouragements, des escaliers que je cache avec ma casquette pour ne pas en voir le sommet, enfin en haut, l’arche d’arrivée, et bien non, il faut faire le tour du grand bâtiment, quand on aime… c’est dur mais je donne tout comme toujours, à fond avec la force du moment, la délivrance, enfin, la ligne d’arrivée, quel bonheur, quelle à été dure, un trail plutôt roulant mais avec le physique que j’avais c’était un calvaire sur les 20 derniers kilomètres.
au 32 ème ça commence à coincer, les jambes lourdes du départ commencent à peser de plus en plus, les ravitaillement s’enchaînent, et les allures de marche et course aussi, pas où plus de rythme, je n’avance à rien et les coureurs sur les courses inférieurs qui font que doubler n’arrange en rien la situation, le mental en prends un coup, mais il faut savoir rebondir et j’essaye de m’alimenter mais c’est mon point faible, peux de chose passe, du riz seulement, je m’hydrate comme il faut, je repars en courant en marchant, il faut se forcer à chaque fois pour relancer ça s’est le plus dur, plusieurs passages sur des digues tout du long du parcours, ça rafraichit les jambes sur le moment mais avec le froid les tendons d’Achille deviennent raide, arrivé aux 10 derniers kilomètres, j’essaye de suivre une femme qui est sur le 22km, enfin j’arrive à accrocher quelqu’un, pourtant c’est pas les tentatives qui manquaient lol, le rythme n’est pas foufou mais ça me va, il reste 7km je tombe dans le sous-bois en descente, heureusement pas de pierre, plus de peur que de mal, la prochaine fois je serais plus lucide, la fatigue est bien là les coureurs qui me suivent et me précédent me demande si ça va, nickel hihi, je repars, de là, je fais 2 kilomètres avec la coureuse que je suivait qui à été rejointe par une autre, on discute un peu, elles m’encouragent, me propose de l’eau et de l’alimentation, ça c’est l’esprit trail, j’adore, il ne reste plus que 4 kilomètres, comme d’habitude à la fin d’une course, mon cerveau se déconnecte du corps, les douleurs rien à foutre lol, me voilà partis, je file, rattrape plusieurs personnes qui m’avaient doublé auparavant, le terrain deviens très accidenté dans le sous-bois, une dernière digue, me voilà à Montaigu, du faux-plat montant autour des remparts, des encouragements, des escaliers que je cache avec ma casquette pour ne pas en voir le sommet, enfin en haut, l’arche d’arrivée, et bien non, il faut faire le tour du grand bâtiment, quand on aime… c’est dur mais je donne tout comme toujours, à fond avec la force du moment, la délivrance, enfin, la ligne d’arrivée, quel bonheur, quelle à été dure, un trail plutôt roulant mais avec le physique que j’avais c’était un calvaire sur les 20 derniers kilomètres.J’attends à l’arrivée Stéphane, je me ravitaille, je m’étire, ça me fait du bien, je félicite et je discute avec d’autres coureurs, après une heure un quart, le voilà, une petite vidéo souvenir et les félicitations, une bière 
, il me propose avec sa femme de me ramener au complexe sportif qui est à 3 kilomètres, là je dit pas non, on en a assez fait , le graal, une bonne douche à bonne température quelle fait du bien, s’ensuit le chemin du retour pendant 1h40, mais vite oublié car il faut bien se faire plaisir, avoir perdu plus de 4000 calories ça donne faim, alors c’est RACLETTE 
, il me propose avec sa femme de me ramener au complexe sportif qui est à 3 kilomètres, là je dit pas non, on en a assez fait , le graal, une bonne douche à bonne température quelle fait du bien, s’ensuit le chemin du retour pendant 1h40, mais vite oublié car il faut bien se faire plaisir, avoir perdu plus de 4000 calories ça donne faim, alors c’est RACLETTE Merci Les Runners de la Digue superbe organisation, aux bénévoles qui ont toujours un petit mot, aux personnes tout le long du parcours qui s’égosillent à nous encourager, à Stéphane pour sa gentillesse, à sa famille et amis qui m’ont encouragé à chaque passage stratégique tout du long du parcours.
tout du long du parcours.Place au repos, et oui ça fait aussi partis du running, il faut que ça finisse par rentrer « .
« .| Distance | Classement | Nom | Temps | Classement catégorie |
| 53 km | 95/445 | Erwan Josset | 5h37’02 | 18ème M1 |
| 53 km | 308/445 | Stéphane Rousseau | 6h46’32 | 33ème M3 |