Parfois il n’y a rien à raconter. Il faut juste regarder. Même pas s’étonner. Juste se réjouir.
Ainsi, l’autre soir, à voir le hors-stade jouer avec la nuit au milieu des bois.
Ces lumières dansantes, ces ombres fugitives, dans la brume et la nuit, c’était beau.
C’est aussi ça, notre sport : de la beauté qui passe.
Et il faut d’autant plus se dépêcher de la saisir que cette beauté-là passe en courant.